Hordes of the old hammer

J'ai doté mon armée de Gobelins/Hobgobelins d'un géant Marauder. Je voulais un second géant, qui devait être à la fois semblable et différent. J'ai donc joué avec mes fichiers d'impression 3D pour fabriquer un frangin à mon gros gars.

• Impression de la tête « normale »à gauche et de la tête d’un autre géant issu d’un autre fichier (à droite de la 1ère photo) Il m’aura fallu la réduire un chouïa niveau dimensions.

• Impression de 2 bras gauche, d’un bras droit et d’un second bras droit inversé en miroir (au centre de la deuxième photo). La main d’un des bras gauche est coupée et collée au bras droit inversé.

• Impression de deux torses. Un en miroir inversé (à droite 4ème photo).

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  Bidouillage (pâte à bois et carton mousse pour fixer la tête issue de l’autre fichier sur le torse inversé.

   

Les deux roux sont désormais parés pour de nouvelles batailles.

Le magazine Le Heraut Citadel était une publication emblématique du monde des jeux de figurines et de stratégie, particulièrement associée à Games Workshop. Dans les années 80, il est devenu un pilier de la communauté de joueurs et de passionnés de jeux de société, de jeux de rôle et de wargames.

Le Heraut Citadel était à l'origine un magazine français qui couvrait divers aspects du hobby, y compris les nouvelles sorties de figurines, les règles de jeu, les peintures, les scénarios et les histoires liées aux univers fantastiques. Il était également reconnu pour ses articles détaillés sur l'assemblage, la conversion et la peinture des figurines, offrant ainsi aux lecteurs une mine d'informations et d'inspiration pour leurs propres projets créatifs. En fait, il s'inspirait, en moins bien, de la version anglaise du Citadel journal.

Le magazine a été un véhicule important pour la diffusion des produits de Games Workshop en France, contribuant à créer une communauté dynamique de joueurs et de collectionneurs dans le pays. Il a également servi de plateforme pour les auteurs et les artistes pour partager leurs créations et leurs idées avec le public francophone. Il restait toutefois bien en deça de la version anglaise en terme de contenu.

J'avais vu dans le magazine Casus Belli une publicité pour le N°1 à l'époque où je n'achetais des figurines que pour le jeu de rôles. Je l'avais commandé auprès de mon magasin de figurines Mimicry (à Amiens). La vendeuse s'était gourré et m'avait commandé le Citadel Journal. Déçu (car je ne maîtrisais alors pas du tout l'Anglais) j'avais tenu à acheter tout de même la version reçue.

J'y avais alors découvert tout un univers: celui du jeu de figurines (Je possédais AD&D Battlesystem qui était déjà un jeu de batailles mais n'y avais jamais joué. Ce fut le point de départ de  ma passion pour les jeux de figurines.

J'ai fini par posséder les six exemplaires parus de lapublication française même si, suite au temps qui passe, il ne me reste plus que les N°1, 3 et 6